À l'automne d'une vie, la récolte du bonheur lie le vent et l'espoir.
Aux craquements des feuilles tous deux s'integrent au néant et comme des rumeurs, palmerons sur nos coeurs sec.
Ces pourquoi, je veux apporter à ma vie un peu de joie, cette vie défaillante de reléve, là où je n'ai conçu une ou plusieurs vies à notre inage.
Toi si désirable viens enlever la brume de mon coeur et ainsi l'embellir de tes caresses. Je veux pressentir ton souffle sur mon cou, te humer comme une rose qu'on vient de cueillir puis t'éffeuillé, afin de parcourir avec mes doigts ton corps nue.
Car le temps éffeuille nos vie à grand pas, alors vient avec moi, éprouver la sensation de pouvoir ressentir le bonheur à mes côtés.
Il est temps de chatouiller la vie à deux, ce désir insoucieux de pouvoir braver les années ensemble dans tous sont insouciance, car le bonheur ne peut être durable si on le travail pas.
