Aujourd'hui, cela fait déjà 1 ans, que Dakota ma quitté malgré lui. Mon chien d'une vie, fidèle compagnon. Il fut pour moi une source de grand fierté et de sécurité pendant un moment de ma vie où j'en avais besoin. J'ai eu la chance de partagé les sept ans de sa vie, avant que la maladie l'emporte... Sept ans de merveilleux moment à vagabonder dans les bois et à travers ce grand pays qui est le Canada. J'ai appris à vivre tous simplement un grand amour. Oui, je veux dire que j'ai appris que si tu donnes de l'attention à un être cher il te la rend sans compter. Je me rencontre que aucun être vivant n'échappe à la grande faucheuse de vie (la mort), car elle fait partie de notre vie. on né, on vie et on disparaît. C'est ça la vie... elle nous laisse dans la douleur et la piene, on doit composer avec c'est rite funéraires, pour m'a part j'ai choisi de faire face à la mort moi-même. J'ai pris mon compagnon et je suis allé ou on avait l'habitude de se promener et aussi que j'avais déjà mis au paravent mon premier compagnon Junior en terre, il y a huit ans, il y a toute sorte de façon de vivre son deuil. Pour moi il été essentiel de le mettre en terre moi-même. Afin que je puisse me recueillir à ma guise et dans un endroit où il n'aura pas de constrution.
Tu me manque mon grand, il y a dès matin quand je me réveille ma mains te cherche mal gré moi, mon compagnon, plus de gros calin que toi Dakota avais l'habitude de se blottir contre moi... J'ai du mal à accepter cette séparation active, tu été aux milieux de ta vie Dakota, toi qui mon valeureux compagnon, toi qui à mie ta vie en danger à deux reprise devant des grizzilis au yukon et en Alaska, toi qui été m'a source de vie, toi qui est rentré dans ma vie pour une raison et combler un besoin que nous exprimons généralement par la tendresse ou autre, cela peut nous sembler une aubaine et c'en est une. Parce que notre tour est venu de partager et d'évoluer ou d'apprendre, toi Dakota tu m'as apporté un grand sentiment de paix, ainsi j'ai découvert à travers toi mon chien, qu'on pouvait aimer sans retenu.
